La réalité dépasse parfois les rêves les plus fous. Comment oser imaginer qu'un classique de la house tel que "Promised Land" de Joe Smooth (1989 tout de même) puisse être repris de façon aussi exceptionnelle et même parfait ? La touche soul de Findlay Brown accompagnée d'arrangements délicats et mélangée par la patte de Pilooski qui a augmenté le tempo pour le rendre plus disco offre à "Promised Land", le statut de mythe.
Reality is sometimes better than crazy dreams. How would I imagine one day that a house classic as Joe Smooth's "Promised Land" (1989) could be covered with so much perfection? The soul touch of white singer Findlay Brown accompanied of delicate arrangements and mixed with the touch of Pilooski who makes it more uptempo to be more disco, offers to "Promised Land" the status of myth.
